Alors que depuis le début de l’année, le marché immobilier peine à trouver sa place dans une conjoncture économique mondiale morose, il semblerait que la situation ne s’améliore pas véritablement.

Clairement, à ce jour, il y a plus de vendeurs que d’acheteurs sur l’ensemble du territoire hexagonal. Les prix ont reculé de près de 3 % pendant la période estivale, même à Paris. Pour certains éminents spécialistes, il s’agit là uniquement d’un ralentissement de la hausse des prix. Plus que jamais, chaque bien immobilier va être valorisé grâce à sa situation et à ses caractéristiques propres. De ce fait, dans la même rue, il est possible de constater des différences de prix notoires de quelques pour cent.

Un marché bizarre

De plus, il faut également tenir compte des disparités de prix et donc de volume concernant les résidences principales et les résidences secondaires. Dans votre démarche de recherche d’un bien immobilier acheté, veillez bien à analyser chaque paramètre afin d’évaluer la meilleure façon possible la rentabilité de tel ou tel logement. Cette hausse des volumes de biens immobiliers à vendre implique justement cette baisse des prix. Depuis 24 mois, il s’agit donc d’une bonne fenêtre pour pouvoir investir dans un bien immobilier. On peut également se demander si la proposition réalisée par François Fillon dans le cadre de la nouvelle loi des finances à propos des plus-values immobilières n’est pas à l’origine de cette baisse si ce n’est stagnation des prix.

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